Eradication de logiciels malveillants

Les sources de malveillance sont hélas de plus en plus nombreuses. Si dans le cadre d’un particulier, la responsabilité individuelle d’une personne qui aurait provoqué involontairement à des dégâts informatiques peut ne pas être nécessairement retenue par la justice (rien n’est moins sur au gré de l’évolution de la jurisprudence civile et pénale) , en revanche, lorsqu’il s’agit d’une entreprise (fut elle très modeste), la responsabilité pénale et civile peut être engagée. Il suffit que les tribunaux soient en mesure de prouver que le responsable d’une structure qui utilise des outils informatiques ait fait preuve de négligence ou n’ait pas mis en œuvre les moyens nécessaires et suffisants pour se protéger d’attaques ou éviter de propager des vulnérabilités à d’autres correspondants pour se voir impliqué dans une spirale fort désagréable.

Sans aborder la notion d’obligation de stockage et de traçabilité des accès internet partagés avec des collaborateurs ou des personnes quelconques, le simple fait d’être négligeant en matière de protection antivirale peut dans certains cas vous être reproché. Par exemple, si votre installation informatique devait se révélée actrice et complice de malveillances organisées (même à votre insu)

Il est arrivé par le passé que de toutes petites structures aient frôlé le dépôt de bilan, à cause d’un défaut de protection ayant conduit à une attaque malveillante d’une très grosse compagnie dont les services juridiques mettent alors tout en oeuvre pour obtenir d’un tiers une indemnisation réparatrice. Tout comme vis à vis de la conduite d’un véhicule, un chef d’entreprise est responsable des actes et conséquences que son système informatique peut causer à un tiers.

Au minimum, la protection de ses propres données et équipements constitue une tâche essentielle dans laquelle AO2i peut vous accompagner, en termes d’actes comme de conseils ou de fourniture de moyens techniques.